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Au Club de Bruges, le début de saison n'a pas donné pleine satisfaction aux dirigeants, qui ont d'ailleurs décidé de se séparer de Ronny Deila.
Depuis que Nicky Hayen a repris les choses en main, elles semblent mieux se passer. En championnat, les Blauw en Zwart ne soint plus qu'à deux points de la deuxième place et cinq de la première. Mais avant d'affronter l'Union Saint-Gilloise avec la possibilité de la dépasser, il va falloir jouer une seizième rencontre européenne cette saison.
Comme en 1992
Un quart de finale au PAOK Salonique qui peut permettre aux Brugeois de se qualifier pour les demi-finales. Après leur victoire 1-0 à l'aller, ils ont leur sort entre les mains et doivent "juste" éviter de perdre.
En cas de qualification, ils feraient aussi bien qu'il y a trente-deux ans avec une demi-finale européenne. Ils ajouteront aussi 2 millions d'euros à leur cagnotte ainsi que des points pour le coefficient belge. Mais au moins deux rencontres supplémentaires au calendrier.
À ce stade de la compétition, l'intention ne semble cependant pas de privilégier une des deux compétitions où Bruges est encore en lice au profit de l'autre. Pas question de faire tourner l'effectif et si Hayen le fait c'est parce qu'il y est contraint par les différentes absences.
Simon Mignolet, Andreas Skov Olsen et Casper Nielsen ont fait le déplacement mais n’ont pas participé à la dernière séance traditionnelle. Suspendus pour abus de cartes jaunes, Igor Thiago, Brandon Mechele et Maxim De Cuyper sont là en supporters.
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