L'avocat de Mogi Bayat a déploré les moyens mis en place pour interpeller son client. Un pistolet aurait même été posé sur la tempe de l'épouse de l'agent de joueur. Des agents cagoulés auraient également défoncé la porte, tout cela en la présence des enfants.
La DH révèle que si la police a pris de telles mesures, c'est qu'elle craignait que Bayat fasse disparaître des documents importants dans une "safe room" située dans la maison et qu'ils avaient repérée grâce aux plans du cadastre.