Anderlecht se trouve dans une impasse. D'un côté, le duo Marc Coucke et Joris Ide, qui possède 74 % des parts, souhaite une augmentation de capital, mais les actionnaires B, dont Michael Verschueren (11 %), n'en veulent pas.
Cette semaine, Verschueren a racheté les parts d'Alexandre Van Damme (5 %) et de Jo Van Biesbroeck (1 %). Verschueren n'est pas connu pour peser lourd financièrement mais il a quand même racheté ces parts. La manœuvre a engendré des remous et la rumeur veut que Verschueren prépare un coup d'État.
Plus précisément, on avance qu'il s'agit d'une prise de contrôle avec le soutien d'entrepreneurs anglais. L'ancien directeur sportif dément énergiquement cette rumeur. "Ecrivez ça", a ordonné Verschueren au Het Laatste Nieuws. "Les actionnaires B, qui représentent au total 26 %, ne peuvent pas prendre de décisions, mais peuvent bloquer une augmentation de capital".
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