Au Standard, si le marché des transferts avait été assez calme pendant tout un temps, il a beaucoup bougé dans la dernière ligne droite.
Les arrivées se sont multipliées à Sclessin et les renforts demandés par Ronny Deila sont arrivés. Un coach qui a dû relever le défi de les intégrer le plus rapidement possible, ce qu'il semble avoir réussi avec brio.
Pourtant, c'était loin d'être gagné d'avance. Et ce n'est d'ailleurs pas nécessairement facile tous les jours car le vestiaire liégeois est composé de pas moins de seize nationalités différentes. Ce qui en fait d'ailleurs le club le plus diversifié de Jupiler Pro League.
MELANGE DE CULTURES
Si le coach maitrise évidemment l'anglais, lui qui a entrainé le Celtic puis le New York City FC, il n'y a pas que la langue à prendre en compte dans un groupe comme le sien mais aussi les cultures différentes.
Mais en termes de gestion de groupe, le Norvégien semble avoir la méthode. Une méthode qui permet à tous les joueurs de se sentir concernés et de tirer dans le même sens, comme il l'a expliqué récemment. Une méthode qui doit permettre à chacun de connaitre son rôle, ce qui ne semblait pas être le cas avant.
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