Avec l'arrivée d'Andrijasevic à Gand, Louwagie a le sentiment d'avoir pris sa revanche sur le Standard

Cet été, Gand a volé Franko Andrijasevic au Standard. Une opération qui a fait plaisir aux Gantois après l'échec lié à l'affaire Trebel. Michel Louwagie a un sentiment de revanche après ce premier transfert, et il explique pourquoi. "En juillet de l'année dernière, nous avions trouvez un accord avec Lokeren pour vendre Raman à 1.2 millions d'euros, tout était prêt sur papier. Le même jour, le Standard nous appelle et nous dit: 'Nous voulons Raman, mais on ne peut payer que 70% des 1.2 millions. En retour, nous vous donnerons 30% d'une potentielle revente de Rama.' J'ai répondu: 'Pourquoi je ferais ça?', la réponse a été: 'Parce que nous voulons une sorte de collaboration à long terme avec vous'. Sachant que tous nos supporters n'étaient pas fan de Raman, j'ai accepté" a-t-il déclaré à Het Laatste Nieuws. "Par la suite, lorsque nous voulions Trebel, nous avons rappelez au Standard le deal avec Raman, et j'ai suggéré, en retour, que nous payions 70% du prix demandé et que nous leur laissions 30% en cas de revente. Ils n'ont pas voulu. J'ai énormément insisté au lieu de juste mettre 3 millions d'euros sur la table. Vous comprenez pour quoi je sens un sentiment de revanche avec le dossier Andrijasevic? Le deal a été fait avec Gand. Je ne ferais plus ce genre de chose. L'équité doit venir des deux côtés."