Un Clasico a toujours une saveur particulière et pour certains joueurs, c'est même plus que ça. C'est le cas pour Adrien Trebel, qui a été capitaine des Rouches avant de passer chez l'ennemi. Ca l'est aussi pour Samuel Bastien passé chez les Mauves de 2012 à 2016 et qui a fait ses premiers pas chez les pros avec Anderlecht le 6 décembre 2014.
"Lorsque j’avais choisi d’aller au Standard trois ans plus tôt, Jean Kindermans, le responsable du centre de formation anderlechtois, avait déjà essayé de m’attirer. Et lorsqu’il a entendu dire que j’étais susceptible de quitter le Standard, il est revenu à la charge", a raconté Bastien à La Meuse. "Je n’éprouve ni rancœur ni sentiment d’injustice parce que je suis très heureux d’être au Standard."
"Lorsque Bruno Venanzi m’a contacté pour me faire revenir, je me suis dit que c’était le bon moment d’enfin pouvoir montrer que le Standard s’était trompé à mon égard. C’était la même chose dès que j’affrontais le Standard avec le Sporting. Aujourd’hui, c’est l’inverse: lorsque je défie Anderlecht, j’ai envie de montrer que je suis Standardman."
A LIRE AUSSI:
"Lorsque Bruno Venanzi m’a contacté pour me faire revenir, je me suis dit que c’était le bon moment d’enfin pouvoir montrer que le Standard s’était trompé à mon égard. C’était la même chose dès que j’affrontais le Standard avec le Sporting. Aujourd’hui, c’est l’inverse: lorsque je défie Anderlecht, j’ai envie de montrer que je suis Standardman."
A LIRE AUSSI:
.webp)
.webp)
.webp)
