John Textor, c'est un homme d'affaires et un propriétaire de clubs de football qui n'est pas exactement comme les autres.
Alors que certains sont quasiment inexistants, comme 777 Partners au Standard, lui il n'hésite pas à se montrer. Et là encore où les éléments de langage sont très calculés, lui il n'hésite pas à sortir des sentiers battus et à user de son franc parler.
Pas par quatre chemins
Ainsi, lorsqu'il a été invité à parler de la situation de Botafogo avec l'ancienne star brésilienne Romario, il n'y est pas aller de main morte. L'ancien international évoquait la possibilité de revendre le club.
Ce à quoi Textor à répondu : "Si je voulais vendre ma participation (dans Botafogo), je ne parlerais pas des mauvaises choses qu’ils font ici (au Brésil), je ne parlerais pas de corruption. Je ne vendrais jamais une affaire comme celle-là (…) J’invite tout le monde à venir au Brésil pour le programme SAF, mais au lieu de cela, je suis poursuivi, harcelé et dénoncé."
Pour rappel, Textor a déposé plainte pour corruption. Il affirme que Botafogo a été défavorisé en raison des arrangements d'autres clubs et espère donc obtenir gain de cause, même si ce ne sera pas simple. Quoi qu'il en soit, il reste campé sur ses positions et n'a donc pas l'intention de quitter le navire pour le moment.