Le Standard de Liège est en pleine transition, avec une vente imminente de l’assureur A-CAP à une holding belge dirigée par Giacomo Angelini, son nouveau CEO.
Cependant, la recherche d’investisseurs reste compliquée, et les spéculations autour d’un retour de Lucien D’Onofrio refont surface. Pourtant, selon les dernières informations, son implication ne semble pas à l’ordre du jour.
Les supporters gardent un souvenir fort de l’époque D’Onofrio, marquée par deux titres de champion en 2008 et 2009. Mais jusqu’à présent, aucun signe ne laisse penser qu’il pourrait jouer un rôle dans le rachat ou la gestion du club. La quête d’investisseurs locaux, déjà tentée sans succès par le passé, soulève de nombreuses interrogations sur sa faisabilité.
PAS DE NOUVELLES
Pour l’instant, Lucien D’Onofrio n’aurait pas été sollicité, ni pour un apport financier, ni pour des responsabilités sportives. À l’époque, il ne souhaitait pas investir personnellement mais pouvait s’appuyer sur un réseau d’investisseurs potentiels. Rien n’indique qu’un tel scénario soit envisagé aujourd’hui.
Le club a récemment obtenu sa licence grâce à une lettre de confort émise par A-CAP. Cependant, avec l’évolution de la situation, la validité de ce document pourrait être remise en question. La Commission des licences reste prudente et n’a pas donné d’indications précises sur les garanties à venir.
UN TEST
Malgré les incertitudes, A-CAP aurait promis d’injecter des fonds pour éponger les dettes du Standard, un élément qui pourrait attirer des investisseurs. Giacomo Angelini disposerait de 18 mois pour assurer l’avenir financier du club, mais les perspectives restent floues et le défi s’annonce complexe.