
Au Standard, on cite souvent les noms des adjoints de Michel Preudhomme mais il y en a un qui apparaît rarement: Rudy Heylen, le coach mental.
En avril, Preud'homme avait parlé de son importance après la défaite 4-0 au Club Bruges, notamment pour retaper Zinho Vanheusden, qui n'avait jamais connu un tel revers.
Selon Sport/FootMagazine, Heylen a été une oreille précieuse pour MPH lorsqu'il a connu des débuts difficiles pour son retour à Sclessin. Sa mission est colossale: il n’est pas consulté uniquement pour ses facultés de coach mental (il est chargé de déterminer le profil psychologique des joueurs recrutés) mais aussi pour l’aspect plus structurel d’un club dont l’organisation est défaillante.
Lors d’une saison où le trop-plein de consignes tactiques et de directives imposées par Emilio Ferrera brident certains joueurs et en dépriment d’autres, le mental coach des Rouches connaît une première saison chargée. Notamment auprès de Samuel Bastien ou de Maxime Lestienne qui ne sont que l’ombre d’eux-mêmes et totalement libérés cette saison.
Le vote: Le coach mental est-il devenu indispensable dans un club de football?