Après les critiques formulées à l'encontre de la pelouse du stade de l'OHL, l'Union belge s'est mise à la recherche d'un nouveau cadre pour le match de mardi contre la Bélarus. Pour les stades de Bruxelles, Charleroi et Malines, la fédération a rencontré des problèmes ou le refus de l'UEFA. La solution de rechange pourrait être le Bosuil.
"Les jardiniers de Louvain ont fait un travail incroyable pour mettre le terrain dans l'état où il était, mais on veut toujours les meilleures conditions", a déclaré Roberto Martinez au Het Laatste Nieuws. "Il n'y a pas beaucoup de temps pour une autre solution et nous dépendons aussi de l'UEFA, qui doit donner son accord. Si ça ne marche pas, nous resterons à Louvain."
L'Union belge a examiné plusieurs options. Le stade Roi Baudouin à Bruxelles et le stade d'Anderlecht auraient fait l'objet d'un veto: on craignait que les supporters ne se présentent, tandis qu'un couvre-feu est d'application à 22 heures. Avancer le match n'était pas une option pour l'UEFA. Le terrain de Charleroi est trop mou. A Malines, l'éclairage n'était pas tout à fait conforme aux normes de l'UEFA. Il ne reste que le Bosuil, qui n'a plus accueilli les Diables depuis le 12 octobre 1988 (défaite 1-2 contre le Brésil)
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