L'état du terrain d'Oud-Heverlee Louvain n'est actuellement pas digne d'une confrontation internationale, et surtout n'aide pas les Diables Rouges. Il les empêche en effet d'exploiter à fond leur supériorité technique contre un adversaire comme le Pays de Galles, ou le... prochain, la Biélorussie, ce mardi 30 mars (20h45).
Heureusement à Den Dreef on met le paquet pour améliorer la situation, sachant que les gros travaux qui étaient prévus pour remplacer le système de drainage, n'ont pas pu être effectués l'été dernier, en raison de la date tardive, le 2 août, de la finale retour de la D1B contre le Beerschot (1-4).
Ainsi en attendant qu'ils débutent, pas moins de quatre jardiniers, dont un de la fédération, vont s'occuper "full time" de la pelouse d'ici mardi, et le beau temps qui s'annonce devrait également contribuer à l'embellir, vu que l'herbe va pousser.
Les mesures sanitaires, et en particulier le couvre-feu bruxellois à 22 heures, ont obligé la fédération a délocaliser les rencontres initialement prévues au Stade Roi Baudouin, en Flandre, et il s'est avéré que Louvain était en définitive le moins mauvais choix, pour toutes sortes de raisons.
"Les gens de la fédération sont venus vérifier l’état du terrain et ont validé les matchs des Diables ici", déclare à ce propos dans La Dernière Heure - Les Sports (https://bit.ly/2PsI5FM) Roel Van Olmen, le porte-parole d'Oud-Heverlee Louvain, bien conscient que la pelouse de Den Dreef, autrefois grandement appréciée par les joueurs, n'est aujourd'hui plus du tout ce qu'elle a été...