Anderlecht a longtemps éprouvé des difficultés à marquer mais voilà que Lukasz Teodorczyk retrouve ses sensations: il a déjà inscrit pratiquement autant de buts en 2018 qu'en 2017. D'un autre côté, Robert Beric, qui n'a jamais eu sa chance au Sporting (163 minutes de jeu, un seul match entier), casse la baraque à Saint-Etienne, où il est retourné.
En dix matches toutes compétitions confondues, dont 9 en Ligue 1, Beric a planté 6 buts (1 en Coupe de France, 5 en L1), il est déjà le deuxième meilleur buteur de l’AS Saint-Étienne en championnat avec 5 réalisations. Face à Dijon ce week-end, Beric a égalisé deux fois pour les siens et a permis d’obtenir le point du nul, malgré un penalty manqué.
"C'est malheureusement ce que je retiens de la soirée", dit-il mais son entraîneur ne lui en vuet pas. "C’est le match du buteur. Il loupe un penalty, puis il marque deux buts, il n’abandonne jamais. Le plus dur dans le football, c’est de marquer (...) L’avantage avec ce genre de joueur c’est qu’il n’abandonne jamais. Et c’est pour ça qu’il ne faut jamais lui retirer sa confiance."