Puisque l'on entend aujourd'hui régulièrement dire qu'Arnaud Bodart (22 ans) s'est déjà hissé en bonne place dans la lignée des grands gardiens qui ont fait les beaux jours du Standard, que devient justement son homonyme et oncle Gilbert, 58 ans, qui en a fait partie avant lui ?
"Je vis seul à Ténérife depuis un an et demi", répond t'il à cette question d'Anthony Rizzi dans L'Avenir (https://bit.ly/39kai9I). "Mais ne vous inquiétez pas trop pour moi, tout va bien. Je fais mes cinquante abdos par jour, je cours, je nage. Au départ, j’étais venu ici pour m’éloigner de la Belgique. Mais sans perdre le foot de vue. J'ai d'ailleurs failli reprendre le club local, qui se porte assez mal en Liga 2 espagnole (17e, ndlr), et même Malaga. Finalement cela ne s'est pas fait, mais je reste aux aguets..."
Avec pour ambition?
"Vous pouvez déjà annoncer que pour le 15 janvier, je serai de retour en D1A ou en D1B belge", assure Bodart. "Je vais revenir au top niveau, écrivez-le bien en grand. Un ami, très influent dans le milieu dont je tairai le nom, m’a promis un nouveau club. A l'étranger plusieurs beaux postes me sont passés sous le nez à cause d'allégations nourries par mon ex-femme, qui finissent toujours par arriver aux oreilles des candidats (en Turquie, au Maroc, en Côte d'Ivoire...). Mais mon avocat Alexandre Wilmotte ne va pas laisser passer tout ça. On va demander de lourds dommages et intérêts. Une conférence de presse sera même bientôt organisée..."
"Je m'y rendrais à pied si on avait besoin de moi", dit Bodart. "Je serais bien revenu aussi quand Bruno Venanzi a décidé de prendre Yannick Ferrera il y a quelques années (lors de la saison 2015-2016, ndlr). Mais bon, personne n’est prophète en son pays..."
"Bien sûr que j'ai fait des choses dont je ne suis pas fier", conclut Gilbert Bodart. "Mais j’ai payé et me suis racheté une conduite depuis, je crois. Les supporters rouches ne m’ont d'ailleurs pas pour autant oublié. Ils savent que Gilbert, lui, ne jouait pas pour l’argent…"
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