Brian Riemer a été démis de ses fonctions Anderlecht après des semaines de tension. Et c'est David Hubert qui a pris le relais ad interim.
Pour Jesper Ferdberg, il va falloir trouver le candidat idéal et ne plus commettre la même erreur qu'avec Brian Riemer. Selon Marc Delire, il y a un point qui a particulièrement été négligé avec le Danois.
"On ne peut pas faire ça"
"La question qu'il faut poser maintenant, c'est de ne pas commettre la même erreur qu'on a commise en engageant Brian Riemer. Rappelons que la devise d'Anderlecht est 'Noblesse oblige' et vous avez fait venir Brian Riemer, un parfait inconnu, qui n'avait jamais été qu'assistant à Brentford et à Copenhague. Excusez-moi mais quand on s'appelle Anderlecht, on ne peut pas faire ça", a déclaré le journaliste à RTL Sports.
Et Delire de poursuivre : "Avant Riemer, on avait eu un arriviste, Robin Veldman, qui avait servi de tampon entre Mazzù et Riemer et ce n'était pas bon non plus. Et Felice, que j'adore vraiment, j'avais dit que ça ne matchait pas avec Anderlecht. Sa femme m'en veut d'ailleurs toujours d'avoir dit un jour que ça ne matchait pas."
"Un seul nom"
Pour le journaliste, il n'y a pas beaucoup de candidats qui correspondent au profil idéal pour prendre les commandes du Sporting. Club le plus titré de Belgique, Anderlecht ne peut pas tenter des choses mais doit se diriger vers une valeur sûre et quelqu'un qui a les qualités qui correspondent aux valeurs des Mauves.
Ainsi, Delire déclare : "Il faut trouver quelqu'un qui matche avec Anderlecht. Si on veut garder la devise 'Noblesse oblige', tu ne peux pas prendre Karel Geraerts. Il n'a été entraineur qu'un an à l'Union Saint-Gilloise et à Schalke ça n'a pas fonctionné non plus. Il n'y a donc qu'un choix."