En Belgique, l'arbitrage est souvent critiqué et des solutions sont donc recherchées pour améliorer ça.
Ce samedi soir en Supercoupe de Belgique, l'arbitre de la rencontre, Bram Van Driessche, portait une bodycam. Celle-ci avait pour objectif de "donner le sentiment de l'intérieur de l'arbitrage, pour avoir d'autres perspectives", avait expliqué Jonathan Lardot.
Test à moitié raté
Le chef des arbitres avait également annoncé un test visant à améliorer la communication entre le VAR et le réalisateur afin que ce dernier sache ce que le VAR est en train d'analyser.
Concernant la bodycam, on a pu se rendre compte qu'elle pouvait être utile pour avoir accès aux échanges sonores entre l'arbitre et les joueurs. En revanche, n'étant pas placée dans l'axe de la vision de l'arbitre, elle donne une mauvaise perspective de ce qui est exactement vu par ce dernier.
La diffusion des images de labodycam risque donc de créer plus de polémiques que d'en éteindre puisque les spectateurs auront une vision tronquée de l'action.
Le concept est donc à revoir, en tout cas dans son utilisation. Le point positif est que le département arbitrage de l'Union Belge prouve qu'il réfléchit à des solutions pour aller de l'avant.
#BodyCam | Vous pouvez entendre et voir l'arbitre Bram Van Driessche de près pendant cette #Supercup. 🧏📹 #CLUUSG
— DAZN Belgique (@DAZN_BEFR) July 20, 2024
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