Le Club Bruges est protégé en Belgique. Tout le monde le pense, très peu le disent, et c'est de toute façon impossible à prouver.
Il n'empêche, juste pour prendre le plus récent exemple, que le champion sortant aura six jours pour préparer son match de la deuxième journée du play-off 1. Tandis que son adversaire, l'Union Saint-Gilloise, qui devra de surcroît se déplacer, aura joué... trois jours plus tôt contre l'Antwerp.
Il va se soi que ceux qu'on appelle parfois les complotistes ne croient pas forcément à un simple hasard.
L'UNION RÂLE, MAIS NE PROTESTE(RA) PAS
Mais qu'en pense t-on à l'Union ?
"On aurait évidemment préféré un autre calendrier", avoue le CEO Philippe Bormans dans Het Nieuwsblad (https://tinyurl.com/3e5p82nx). "Mais la finale de la Coupe de Belgique (Antwerp - FC Malinois, le dimanche 30 avril, ndlr) a compliqué les choses, sans parler de la Coupe du monde disputée à des dates incongrues..."
On sait cependant qu'à l'inverse d'autres clubs, l'Union n'est pas du genre à emprunter les voies parfois scabreuses qui existent, pour tout remettre en question, au détriment de la crédibilité de la compétition.
"On râle sec, mais on ne protestera pas", résume Bormans. "Et on ne cherchera pas non plus d'excuses si cela devait mal tourner. On a d'ailleurs jusqu'à présent plutôt bien géré ce genre de situation..."
A LIRE AUSSI
Ronny Deila a parlé: Sclessin peut s'enflammer ! (https://www.footnews.be/news/367597/ronny-deila-a-parle-sclessin-peut-senflammer-).
.jpg)
.jpg)
.jpg)
.jpg)
.jpg)