Balayé (4-0) mardi soir à l'Antwerp en Coupe, et même si cela ne peut évidemment pas servir d'excuse, il n'en est pas moins évident que le Standard est plus costaud avec Nicolas Raskin que sans. Mais bon, pour le moment c'est comme ça. Reste à voir jusqu'à quand.
En attendant que se passe-t-il, et qu'est ce qu'on fait?
Arnaud Bodart qui est peut-être le mieux placé pour répondre à ces questions cruciales, s'y colle dans La Dernière Heure - Les Sports (https://tinyurl.com/yxyp4xsz).
On vous résume.
Que se passe-t-il ? "On manque de régularité", pointe le gardien liégeois. En clair le Standard a fait de très bons matches, mais aussi de très mauvais. Pour Bodart il vaudrait mieux gagner régulièrement, que remporter quelques brillantes victoires suivies d'échecs retentissants.
Qu'est-ce qu'on fait ? Un bon résultat vendredi (20h30) à La Gantoise, pour commencer. C'est impératif. "La claque à l’Antwerp peut être un déclic susceptible de nous réveiller", espère Bodart. "Ce match à Gand peut nous permettre de montrer à tout le monde ce qu’on vaut, et ce qu’on veut. On doit faire abstraction de ce qui se passe autour de l’équipe (allusion à l'Affaire Raskin, ndlr). Il ne faut pas commencer à s’éparpiller mais faire notre job, tout simplement..."
EN DÉPLACEMENT ? ET ALORS ?
Gagner à Gand semble tout de même très osé, comme objectif.
"La saison passée, on avait plus gagné à l’extérieur (6x, ndlr) qu’à domicile (3x)”, rétorque Bodart. "Si on regarde notre calendrier de fin de saison et le nombre de gros matchs à jouer à l’extérieur en se disant que ça va être compliqué, ce serait déjà un mauvais signe. Pensons plutôt à simplement reproduire certaines des grosses prestations que nous avons faites en première partie de saison", conclut-il.
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L'énorme somme que Coucke a injectée à Anderlecht en cinq ans (https://www.footnews.be/news/350246/lenorme-somme-que-coucke-a-injectee-a-anderlecht-en-cinq-ans).