Zéro point sur six ! 3-2 à Malines et 0-1 contre Courtrai. Pour l'instant Luciano D'Onofrio et Frankie Vercauteren sourient. L'Antwerp ne se porte sûrement pas mieux après leur avoir indiqué la porte de sortie du Bosuil !
Pour autant le directeur général du club Sven Jaecques ne panique pas. "De tels résultats font certes monter la tension au sein du club", reconnaît-il dans Het Laatste Nieuws (https://bit.ly/3rSvwTl), "mais rien de véritablement anormal ne s'est encore produit, compte tenu des circonstances. Il a juste manqué les points..."
"Mais pas de panique", poursuit-il, "on sait très bien d'où on vient, et aussi où on va. Je ne cherche pas d'excuses mais l'équipe n'est actuellement qu'à 60 ou 70% de son potentiel, et doit encore apprendre à jouer sans des joueurs aussi essentiels que Lior Refaelov et Dieumerci Mbokani. Ce qui n'est pas rien..."
"En plus de cela il nous manque Björn Engels, Faris Haroun, Michel-Ange Balikwisha, notre arrière gauche Sam Vines (à la Gold Cup, ndlr), Koji Miyoshi (Aux JO de Tokyo), et Alhassan Yusuf (pour des raisons administratives). Si vous additionnez tout cela, les mauvais résultats ne sont plus tellement illogiques. Même si nous n'allons évidemment pas attendre jusqu'au retour des absents pour prendre nos premiers points..."
"Parce que l'effectif actuel aurait quand même pu faire mieux face à Malines et Courtrai, dont les victoires doivent nous réveiller. J'ai trop peu vu sur le terrain, la passion et l'enthousiasme affichées par nos supporters dans les tribunes. Ce qui n'est pas acceptable. Aux joueurs de maintenant prendre exemple sur eux...", conclut le directeur-général de l'Antwerp Sven Jaecques.
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