Anderlecht espère toujours figurer dans le top 4 malgré un programme de haut vol avec des confrontations avec les deux premiers de la classe. En plus, le parcours des Mauves n'est pas spécialement rassurant: ils n'ont récolté que 52,6 % des points (49/93) et ont signé 13 partages contre seulement 12 victoires en 31 matches.
"Pour son avenir européen immédiat, oui j'ai peur car je ne le vois pas réaliser subitement trois performances d’affilée", a regretté Walter Baseggio dans
La Meuse. "A part peut-être Trebel, qui va porter l’équipe et encadrer tous les jeunes forcément très stressés dans ces circonstances particulières? Certainement pas tous les gars en prêt qui, même inconsciemment, s’en foutent un peu de voir Anderlecht en Europe ou non la saison prochaine."
"Je n’ose pas trop y penser car je veux rester optimiste et j’ai mal pour les supporters dont je fais partie, mais j’avoue avoir un peu peur pour l’avenir du club à plus long terme. Ce qui m’inquiète le plus, c’est que je ne retrouve pas dans l’équipe actuelle cette rage de vaincre et cette ligne de conduite claire et précise, que René Weiler fut le dernier à apporter. Avec lui, même si leur talent n’était pas exceptionnel, chaque joueur connaissait parfaitement ses tâches."
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