Depuis l'arrivée de Marc Coucke, Anderlecht a multiplié les transferts entrants et les échecs ont été nettement plus nombreux que les réussites. Parmi les flops, Samir Nasri. La responsabilité en incomberait au président.
"Kompany n’y est absolument pour rien. Nasri n’était que son troisième ou quatrième choix. Il a directement dit à Coucke que ce serait un transfert à risques parce qu’il était en fin de carrière, parce qu’il a une mauvaise mentalité, parce qu’il est souvent blessé", a révélé une personne proche du club à Sport/FootMagazine.
"Il a dit qu’il se sentait capable de travailler avec Nasri, mais que ça ne devait surtout pas être la priorité. Il a avancé d’autres noms, mais Coucke ne les connaissait pas et il a vite tranché: il lui fallait Nasri parce que ça allait faire vendre des maillots."
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