Arrivé en 2013, Andy Najar fait partie des meubles à Anderlecht. Malgré sa sensibilité aux blessures, le Hondurien continue de rebondir dans l'équipe.
"Je suis assez fier de ne pas avoir été poussé par la nouvelle direction à partir et d'être l'un des derniers survivants. Peut-être que je suis le nouvel Olivier Deschacht et que je jouerai ici depuis plus de quinze ans. On ne sait jamais", a avancé Najar au Het Nieuwsblad.
Ses blessures ont quand même fait douter Marc Coucke et Luc Devroe. Ils n'allaient pas le garder en cas de bonne offre. "Eh bien, ils peuvent dire ce qu'ils veulent sur moi, j'ai appris à recevoir ce genre de coups. Pendant la lourde préparation, je n''ai pas eu des problème avec mes adducteurs et maintenant je me sens bien. "