Pour les Diables rouges, ce dont tout le monde parle pour ce rassemblement, c'est le retour de Romelu Lukaku dans le groupe.
L'attaquant n'avait pas rejoint le groupe depuis l'Euro, lors duquel il n'aura pas réussi à être décisif. Cette fois, il devra tenter de sauver la nation avec une dernière opportunité d'atteindre les quarts de finale de la Ligue des Nations.
Pas du tout optimiste
Pour cela il faudra inscrire des buts et battre l'Italie puis Israël. Mais si Lukaku pourrait aider la Belgique à aller de l'avant, il pourrait pendant un temps être une solution de secours dans un secteur qui pose problème.
Philippe Albert est en tout cas assez pessimiste quant à l'avenir du secteur offensif des Diables rouges. "Même si j'aimerais avoir tort, je ne suis pas du tout optimiste pour l'arpès Lukaku", déclare l'ancien défenseur à Sudinfo.
Beaucoup d'absents
En attendant, l'ex-Diable est ravi de revoir Big Rom après cinq mois d'absence, même s'il ne pourra pas tout faire tout seul. Et ce qui pourrait poser problème, c'est le nombre d'absents dans le groupe. Domenico Tedesco l'a souligné, faisant noter que dans les cinquante présélectionnés, il y avait entre quinze et vingt joueurs qui n'ont pas pu répondre à l'appel.
Si Kevin De Bruyne en fait évidemment partie, il y a aussi des joueurs comme Charles De Ketelaere qui se sont ajoutés à la liste. Il y a aussi des joueurs plus jeunes, qui auraient pu fêter leur première sélection comme Joaquin Seys.
Face à l'Italie et Israël, on risque de nouveau de voir un onze de base fortement remodelé. Avec Lukaku qui pourrait jouer un rôle central mais qui ne devra donc pas être le seul à avoir envie de remporter la victoire aussi bien dans une rencontre que dans l'autre.