Anderlecht éprouve de gros soucis à trouver sur le marché ce qu'il recherche. Des rumeurs farfelues ont même circulé comme celle du contrat minimum offert à Kris Oris pour rester sur le banc.
"Quand on écrit ce genre de rumeurs, c’est un manque de respect pour ceux qui dirigent le club. J’avais vraiment un problème avec ce sujet, donc j’ai immédiatement demandé au responsable de la communication de réagir", a expliqué irrité Herman Van Holsbeeck à la RTBF. "J’ai reçu des mails de personnes qui pensaient que j'étais occupé à saboter le club. L’information était fausse, on ne va pas prendre des joueurs comme Kevin Oris, avec tout le respect que j’ai pour lui."
Le mercato n'est quand même pas facile. "J’ai déjà connu beaucoup de mercatos compliqués. C'est sans doute le plus particulier, ça c’est sûr. J’ai reçu la mission de trouver des joueurs pour renforcer notre équipe mais l’enveloppe n’est pas très grande. Je vais gérer cette situation le mieux possible comme j’ai fait pendant quinze ans. On va essayer de faire ce que le coach demande. Dans ma tête, tout est clair."
Le vote: La politique des transferts de Van Holsbeeck ressemble-t-elle à un sabotage?