Au Standard, si la situation du club n'est toujours pas claire, sur le terrain les joueurs engrangent des points importants.
Si beaucoup notent que le jeu proposé n'est pas de grande qualité, il y a en revanche une chose positive qui est notée, la mentalité affichée par un groupe qui a pas mal changé. Un groupe qui tire dans le même sens et qui a donné à Sclessin l'occasion de vibrer ce dimanche contre le Club de Bruges.
"Les joueurs acceptent de souffrir"
Mais que cache vraiment le terme de mentalité, qui a changé en bord de Meuse ? Ce que l'on peut noter, c'est que les joueurs sont plus concernés alors que la saison dernière, surtout durant les playoffs, ils n'avaient pas l'air de s'inquiéter des résultats et le maintien semblait suffire à une bonne partie du groupe.
En plus d'être concernés, les joueurs semblent également avoir retrouvé le plaisir de jouer. Libérés, ils peuvent ainsi rivaliser avec des équipes qui sont plus fortes sur le papier, comme Genk et le Club de Bruges.
Et surtout, les joueurs acceptent de souffrir. On sait qu'Ivan Leko est un entraineur assez strict, ce qui ne plaisait pas à tout le monde la saison dernière. Désormais, les joueurs présents suivent le rythme imposé par le coach et pour le moment ça fonctionne.
Mais il va évidemment falloir confirmer sur le plus long terme et face à des équipes réputées moins fortes, contre lesquelles la motivation peut être moins importante.