Massimo Bruno est revenu à Anderlecht pour relancer sa carrière après des expériences moyennes à Salzbourg et Leipzig.
"Dire que tout est allé trop vite est facile après-coup. Mais je dois reconnaître que ma carrière n’a pas connu l’ascension que j’espérais : j’ai l’impression de stagner, j’aurais aimé faire partie du projet Leipzig", a avoué l'ailier à la RTBF.
"Aujourd’hui, je ne me projette plus. Et ne me parlez pas des Diables Rouges: j’en suis loin. Y prétendre serait prétentieux de ma part. Même quand j’en étais proche, je n’y ai jamais pensé car il fallait concrétiser et je ne l’ai pas fait."
Bruno appartient à la galaxie des clubs du groupe Red Bull. "Faire partie d’un club-réseau présente aussi des avantages pour rebondir ailleurs à condition que le joueur conserve le choix. Ce qui est mon cas. Je ne risque pas de vivre une galère à la Ciman en me retrouvant par exemple au New York Red Bull contre mon gré."