L'été dernier, Luis Rubiales créait le scandale pour sa façon de célébrer le titre de champion du Monde remporté par l'équipe nationale féminine d'Espagne.
Sur le podium, il n'hésitait pas à embrasser Jenni Hermoso sur la bouche. Un baiser non-consenti qui allait luiu valoir un départ de son poste de président de la fédération espagnole (RFEF). Mais pour Rubiales, une autre affaire pourrait lui coûter cher.
Mandat d'arrêt
Le ministère public a en effet lancé un mandat d'arrêt pour des irrégularités présumées au sein de la RFEF, plus précisément pour des faits de corruption dans les affaires ou encore de blanchiment d’argent au cours des cinq dernières années et notamment à propos du contrat de la fédération espagnole pour la Supercoupe d'Espagne en Arabie saoudite.
Pour le moment, si l'homme de 46 ans est libre, c'est parce qu'il se trouve actuellement en République dominicaine, qui n'a pas négocié d'accord d'extradition avec l'Espagne. Tant qu'il ne pose pas le pied sur le sol espagnol, Rubiales peut donc continuer de faire sa vie comme bon lui semble.