"Dans mon pays, on m'appelait Hazard"

Stijn Vreven, l'entraîneur belge de Trencin, dit de lui qu'il est le joueur le plus rapide qu'il ait vu de sa vie. En l'absence de Yaremchuk, Depoitre et Kleindienst, c'est  Osman Bukari (21), un ailier, qui va jouer à la pointe de l'attaque de Gand contre l'Etoile Rouge.

"Je suis le seul attaquant qui reste, je dois être prudent", dit-il au journaliste de Het Laatste Nieuws qui lui dit que la distance de sécurité est respectéet et qu'il peut enlever son masque.

"La vitesse, c'est dans mes gènes. Mon père était sprinter à l'école, mes frères font aussi de l'athlétisme. Je suis le seul à jouer au football."

Mais il n'est pas seulement rapide: il a également une bonne technique. "Mon idole, c'est Eden Hazard. Lorsque j'étais encore au Ghana, je regardais un maximum de vidéos de lui. D'ailleurs, on m'appelait Hazard, parce que j'étais bon dribbleur. Eden joue sans stresse. S'il rate un dribble, il recommence. Je fais pareil. En football, on ne doit pas avoir peur, on doit prendre du plaisir."