Le Standard se dit confiant d'obtenir sa licence devant la CBAS auprès de laquelle il va défendre sa cause ce mardi à 19 heures. Pour convaincre la Cour, Maître Grégory Ernes va devoir montrer les preuves de paiement des primes de février mais aussi démontrer que l’immobilière du Standard de Liège est solvable pour racheter le stade. La sentence est attendue le 10 mai.
Pour La Meuse, en dehors des enquêtes judiciaires (Footbelgate, affaire Christophe Henrotay, la plainte de Saint-Trond dans le transfert d’Edmilson) , c’est la gestion quotidienne du club qui interpelle depuis le début de l’année. Un exemple, la prolongation de contrat ratée de Dimitri Lavalée. A Sclessin, on prétend que le défenseur s’est joué de la direction en faisant traîner les négociations en longueur en sachant qu’il rejoindrait un autre club, Mayence en l’occurrence.
Sauf que la direction du club n’a visiblement pas abordé le dossier de la manière la plus adéquate. Et cela aurait été mal vécu par le clan Lavalée qui n’a plus donné suite à des propositions supérieures ou même à une tentative d’intervention de Mogi Bayat via, notamment, Roberto Bisconti…
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