Le Sporting Lokeren, lanterne rouge de la division 1B, n'est pas ou pas encore vendu. Mais il va collaborer avec un groupe chinois, Ke Hua Sports, ont annoncé les waeslandiens vendredi.
"Lokeren ne change pas de mains", assure le président Louis De Vries. "Ni juridiquement, ni financièrement. Je connais ce groupe chinois (qui exploite des académies et des centres sportifs, ndlr) depuis l'époque où j'étais agent. Je savais donc bien qu'avec son aide, nous allions pouvoir être en mesure de développer le projet du Sporting de Lokeren".
"L'accord prévoit en effet notamment d'attirer de jeunes talents chinois au club et en échange, nous apportons notre expertise du football européen en Chine", précise De Vries. "Il restera valable en cas de relégation, ce que je ne peux cependant imaginer..."
L'ancien manager de l'Antwerp et du Germinal Beerschot a toutefois concédé que Ke Hua Sports pourrait bientôt acheter des parts du club, et qu'il s'est engagé à l'aider financièrement le plus rapidement possible, vu qu'il y a urgence.
Lokeren espère en effet obtenir la levée de l'interdiction de transfert dont il est actuellement frappé.
Des pourparlers avec d'autres partenaires sont par ailleurs encore en cours, a admis De Vries
Le vote: Lokeren va descendre