Bien qu'il était passé au second plan au PSG et qu'il n'a pas été super pendant les matches de préparation, Thomas Meunier est resté un pion fixe en équipe nationale. Roberto Martinez lui fait confiance sur le flanc droit et aimerait tant avoir son pendant sur le côté gauche.
"Mes prestations doivent toujours être jugées à l’aune de mes coéquipiers. Quand ils sont à 100 %, je serai à 100 %. Dans les amicaux avant la Coupe du Monde, je ne pouvais pas jouer le jeu car Mertens en gardait sous la pédale et qu’il a une énorme importance sur mon jeu. Je suis totalement dépendant de Mertens, Hazard ou Lukaku. Et s’ils calculent, je suis foutu. Mais on savait que les calculs prendraient fin dès l’entame du tournoi", a expliqué Meunier à La Meuse.
"J’étais tellement concentré que j’ai abordé mes matches de la même façon, avec la même envie. On peut avoir l'impression que je suis monté en puissance car au fur et à mesure du tournoi, on rencontrait des équipes qui acceptaient d’ouvrir le jeu, comme le Japon, le Brésil ou l’Angleterre. On ne pouvait pas douter de mon implication mais je suis défenseur, je dépends beaucoup du bloc équipe."
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