Noë Dussenne, ancien défenseur et capitaine des Rouches, témoigne de son bonheur actuel à Lausanne, loin des tourments du Standard. En janvier 2023, l'annonce de la non-prolongation de son contrat par Fergal Harkin, directeur sportif, a été un choc pour lui. Cependant, grâce au soutien de sa famille et de ses proches, il a su tourner la page rapidement. Désormais, à 31 ans (32 ce dimanche), il connaît une deuxième jeunesse en Suisse, où il est un élément clé de l'équipe de Lausanne.
Lausanne, un super cadre de vie
Lors d'une interview accordée à Sudinfo, Noë parle de sa vie à Lausanne, où l'objectif principal du club est de se maintenir en Super League après sa récente promotion. Bien qu'ils soient actuellement 8es, Noë reconnaît que la lutte pour le maintien sera difficile, mais l'équipe reste déterminée à remporter autant de matchs que possible. Il se dit épanoui dans son rôle de vice-capitaine et apprécie la confiance accordée par son entraîneur. Concernant sa vie privée, il ne regrette absolument pas son choix. Sa femme étant enceinte de son 2ème enfant, il voulait qu'elle bénéficie des meilleurs soins de santé. Il ne souhaitait pas s'exiler trop loin de la Belgique, et a notamment refusé le Qatar.
"Voir le standard dans cet état m'attriste beaucoup"
En ce qui concerne son départ du Standard, Noë avoue avoir été déçu au début, mais il a rapidement accepté la situation et a pu se concentrer sur son avenir. Malgré un mois de janvier 2023 compliqué, il a toujours souhaité laisser une bonne image de son passage en cité ardente. Pour lui, les joueurs ont de la qualité, mais le problème réside principalement dans les nombreux changements au sein de club. Le changement d'entraineur, le départ de plusieurs joueurs qui n'est pas compensé, le retards de paiements, sont un ensemble d'éléments qui ont engendré d'énormes difficultés pour le club. 777partners ? "Je n'ai jamais vu une personne de 777partners"
Un retour au RAEC Mons ?
Noé Dussenne reste confiant quant à son avenir à Lausanne et espère continuer à jouer au plus haut niveau aussi longtemps que possible. Et pourquoi pas boucler la boucle en revenant dans son club formateur, le RAEC Mons ? S'ils pouvaient revenir dans le football professionnel d'ici 2026, ce serait parfait".