L'hiver prochain, les Diables rouges partiront à la recherche de la gloire éternelle au Qatar, probablement la dernière chance pour la génération dorée de remporter un prix. C'est sans doute aussi le cas pour le sélectionneur Roberto Martinez, dont le contrat prend fin après la Coupe du monde.
L'entraîneur national a été lié à un départ de l'équipe nationale à plusieurs reprises ces derniers mois. Le scénario de rêve est de se dire adieu en beauté, bien que le bilan de Martinez soit déjà impressionnant. Depuis son arrivée à la tête du club à la mi-2016, les Diables rouges ont remporté 52 de leurs 70 matches. Avec comme point culminant la médaille de bronze à la Coupe du monde en Russie.
Pourtant, l'après-Wilmots en équipe nationale aurait pu être tout autre. Dans une conversation vec Het Nieuwsblad, Gunther Van Handenhoven, qui était l'assistant d'Anderlecht à l'époque, a révélé que Martinez était également sur la short-list du Sporting à cette époque. En effet, après le départ de Besnik Hasi, Anderlecht était également à la recherche d'un nouvel entraîneur.
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En plus de Martinez, d'autres noms renommés tels que Claude Puel ont été mentionnés, bien que l'Espagnol était le choix le plus concret. Van Handenhoven a même parlé à son avocat, mais un différend financier avec son ancienne équipe Everton a empêché Martinez de rejoindre un nouveau club. En guise d'alternative, le RSCA opte pour René Weiler, qui a remporté immédiatement le titre sans pour autant charmer le public bruxellois.