À l'Union Saint-Gilloise, Sébastien Pocognoli a pris le problème des attaquants qui ne marquaient pas à bras le corps.
Il a ainsi demandé à Kevin Mirallas de lui venir en aide et de s'occuper spécifiquement des joueurs offensifs. Arrivé fin octobre, il explique que ceux-ci sont encore assez jeunes malgré leur talent et leur potentiel. Se disant ravi d'avoir rejoint la famille saint-gilloise, il explique également que les joueurs répondent bien.
"Un bonus supplémentaire"
"Je pense que c'est un déclic de toute l'équipe. Il y a eu pas mal de nouveaux joueurs et l'équipe jouait déjà très bien avant mon arrivée. Il fallait juste avoir ce bonus supplémentaire de terminer les actions. Depuis deux mois ça va beaucoup mieux", explique-t-il à Sudinfo.
"Le staff et moi-même on travaille sur le plus dont ils ont besoin. C'est un travail que l'on fait au quotidien à l'entrainement sur le terrain mais aussi avec les analyses vidéo avant et après les matchs. On essaye de donner aux joueurs les meilleures bases possibles pour qu'ils essayent de performer le weekend", ajoute encore Mirallas.
"Beaucoup de talent et de potentiel"
Performer le weekend et aussi en semaine, comme cela devra être le cas ce jeudi contre Nice. Une équipe a priori à la portée de l'Union Saint-Gilloise puisqu'elle n'a pas encore remporté la moindre victoire sur la scène européenne cette saison. Il faudra pour cela une fois de plus que les attaquants bruxellois marquent.
Face à une équipe qui a encaissé douze buts en cinq rencontres, il devrait y avoir la place pour le faire. Mais il ne faudra pas se montrer suffisant et il faudra également tenir compte d'un paramètre important, l'état désastreux du terrain au stade Roi Baudouin.