Cela fait cinq ans que Buno Venanzi a accédé au poste de président du Standard. Tout n'a pas été simple pendant cette période comme le prouvent les nombreux changements au niveau de la direction et la succession de coaches.
"Bruno Venanzi a été vice-président et a eu neuf mois pour se faire la main avant de me succéder", a rappelé Roland Duchâtelet à La Meuse. "Il s’avère, et il n’est pas le seul quand on regarde du côté de Bruxelles, que ce n’est pas tellement évident de reprendre un club de football. Malgré le fait qu’il était un fils du Standard et qu’il était bien préparé, rien n’a été simple quand même."
"Cela étant, des gens qui reprennent des clubs et pour qui tout va bien dès le départ, je n’en connais pas énormément. À Bruges, et les gens l’oublient parce que les résultats aujourd’hui sont là, Bart Verhaeghe a galéré au début avec l’achat de très nombreux joueurs. Et regardez les deux premières années de Marc Coucke à Anderlecht, alors qu’il avait déjà présidé un autre club, Ostende! Le bilan de Venanzi n’est donc pas si mauvais que cela…"
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