On risque d’entendre encore parler de l’affaire Selemani. Mis au placard par l’Union saint-gilloise, le joueur a résilié son contrat avant de rejoindre Courtrai gratuitement, alors que l’Union accuse le club de D1A d’avoir négocié dans son dos.
« C’est l’Union Saint-Gilloise qui a donné aux agents de sécurité l’instruction de refuser l’accès des installations du club au joueur et qui lui a interdit de s’entraîner. Le joueur a résilié son contrat de travail en raison d’une faute grave de son employeur. Selemani réclamera des dommages et intérêts devant le tribunal du travail compétent et ne versera pas d’indemnités de départ comme il est d’usage en vertu de la loi de 1978. »