Le laborieux parcours européen entamé sous Felice Mazzù s'est donc poursuivi avec Brian Riemer.
Anderlecht aura en effet l'honneur de défier Villarreal en huitièmes de finale de la Conference League.
"Une immense fierté", admet l'entraîneur danois des mauves, longtemps attendu en salle de presse jeudi soir.
"C'est vrai que Ludogorets (battu 3-0 aux tirs au but, ndlr) nous a donné pas mal de fil à retordre, mais c'est une grande équipe (sic !), et on doit s'attendre à ce genre de match à chaque tour sur la scène européenne. Il faut aussi être capable de se livrer deux fois à fond, en milieu de semaine et le week-end, si l'on veut se prétendre joueur de football professionnel. L'excuse de la fatigue ne tiendra donc pas dimanche (18h30) contre le Standard. L'enthousiasme du vestiaire après ce succès européen doit en effet nous porter vers une nouvelle et indispensable victoire. D'autant que la richesse du noyau me permettra d'aligner aussi des joueurs particulièrement frais..;"
Zeno Debast ?
"Peut-être, on verra. Ce n'est pas impossible. Mais il est en même temps hors de question de prendre le moindre risque, s'il devait y en avoir un. J'adore de toute façon faire tourner mon équipe, afin que chaque joueur reste entièrement concerné, et que personne ne se relâche..."
FELICE MAZZÙ CONFIRMERA
C'est vrai qu'on s'étonne parfois, et c'était d'ailleurs encore le cas jeudi, de la présence ou de l'absence de tel ou tel joueur sur le terrain. Mais au final c'est l'entraîneur, le seul à être payé pour ça, qui décide, et non, en principe du moins, Pierre, Paul ou Jacques. C'est la règle numéro un. La règle numéro deux, à Anderlecht en tout cas, c'est qu'il doit gagner (beaucoup) plus souvent qu'il ne perd.
Felice Mazzù confirmera...
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