Le fait que Roberto Martinez ait intégré Axel Witsel dans sa sélection a fait pas mal de remous. Que le joueur lui-même ne sache pas encore dire où il en sera dans trois semaines inquiète pas mal d'observateurs. Généralement très critique, René Vandereycken donne raison au sélectionneur.
"C'est très logique qu'il soit là. J'étais exactement dans la même situation à l'approche de la Coupe du Monde de 1982. J'étais blessé au genou, mais Guy Thys m'a quand même sélectionné, si nécessaire pour le deuxième tour. Mais la veille de notre premier match contre l'Argentine, il a été décidé que je ne pourrais pas non plus jouer au deuxième tour et Thys a appelé Jos Daerden", a raconté Vandereycken dans Het Nieuwsblad.
"Si Witsel n'est pas prêt, Martinez peut toujours le remplacer. Seulement, mon remplaçant idéal était Marouane Fellaini. J'étais favorable à son retour, car avec Leander Dendoncker, on n'a plus qu'un seul autre milieu défensif, qui doit aussi jouer à l'arrière si nécessaire. La meilleure solution serait de faire venir Bryan Heynen. Youri Tielemans, Dennis Praet et Hans Vanaken font déjà partie de l'effectif final, mais aucun d'entre eux ne peut prétendre au poste de milieu défensif."
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