Sa situation est la même que celle de Selim Amallah, à une (grosse) nuance près. Il n'est pas, ou du moins pas encore, excommunié, comme l'international marocain.
On dira donc que cela chauffe aussi pour Nicolas Raskin, mais un peu moins que pour Amallah. Pour le moment, en tout cas. Sans doute parce qu'il s'est "mieux" comporté, lisez parce qu'il manie mieux la diplomatie.
Mais le problème est exactement le même: le Standard veut voir son jeune joueur liégeois de 21 ans prolonger le bail qui le lie au club.
Et quoique plus constructives et toujours respectueuses, les négociations, entamées il y a plus d’un an par l’ancienne direction, n'avancent pas pour autant plus vite.
LUI IL EST CORRECT, DONC IL JOUE
De son côté, Nicolas Raskin - qui vient de se séparer de NGA Sport, la société qui gérait ses intérêts - aurait aimé pouvoir bénéficier d’un nouveau contrat plus tôt. Percevant l'un des plus petits salaires du club, le médian souhaitait, à juste titre, être réévalué à la hausse.
Aujourd’hui encore, rapporte Kevin Sauvage dans La Dernière Heure - Les Sports, il regrette que cela n’ait pu se faire plus tôt, et estime avoir été victime de la mauvaise passe, sportive et financière, traversée par le club avant son rachat par 777 Partners.
Mais pour l'heure, Raskin, qui n’a jamais pris d’engagement non tenu par la suite, ne risque donc pas d'être écarté de l'équipe.
Le Standard estime en effet ne rien avoir à lui reprocher dans les négociations.
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Même Kompany n'avait jamais osé: comment Mazzù va-t-il gérer? (https://www.footnews.be/news/340478/m%C3me-kompany-navait-jamais-ose-comment-mazz%C3-vatil-gerer).