Le Standard ne peut se permettre de louper le top 6 une troisième année d'affilée. Bien que le noyau ne soit pas complet, le club a disputé plusieurs matches de préparation face à des équipes de divisions inférieures.
Dès qu'il a pris connaissance du programme, Ricardo Sa Pinto l'a trouvé trop léger. Le coach n'est pas le seul. "Je crois que tout le monde a bien vu que nous étions fatigués", a expliqué Alexander Scholz à
La Meuse. "Face à Walhain, le jeu était clairement moins fluide que face à Wiltz parce qu’on travaille dur à l’entraînement".
"C’est trop tôt pour dire ce qui a vraiment changé, mais on voit clairement où l’entraîneur veut en venir. Et quand tout est clair dès le départ, c’est plus facile pour les joueurs d’agir en conséquence. Quand on repart de zéro et qu’il n’y a pas d’équivoque, ou vous suivez ou vous êtes exclu".