En janvier, Anderlecht a enrôlé Peter Zulj en versant 2,5 millions au Sturm Graz. Apparemment, son manager Evert Maeschalck l'aurait également proposé à Gand et au Club Bruges, qui l'ont ignoré pour la même raison: la mauvaise réputation du joueur.
"Je n’en sais rien... Les gens aiment bien raconter des carabistouilles. Et ils croient tout ce qu’ils lisent dans les journaux et sur internet. La vérité leur parle moins", a décrété Zulj dans Sport/FootMagazine. "Autrefois, je n’étais pas concentré à 100% sur mon métier, j’étais plutôt nonchalant. Il y a quelques petites choses qu’un footballeur professionnel devrait faire, et je ne les faisais pas. Passer chez le kiné après l’entraînement, me rendre en salle de musculation, me coucher tôt, m’alimenter de façon diététique, avoir une vie privée rangée."
"Au Sturm Graz, je suis devenu un vrai professionnel. Si j’avais respecté toutes les règles du jeu plus tôt, je jouerais déjà à l’étranger depuis trois ans."
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