Sans le vouloir, Thomas Didillon avait augmenté la tension du Clasico en déclarant que son mot belge préféré est baraki, un mot que du côté de Sclessin, on a pris pour une insulte.
A la fin de la rencontre, le kop du Standard a scandé -Barakis! pendant de longues minutes. Paul-José Mpoku s'est également lancé vers le gardien anderlechtois.
"Didillon m'a dit que barakis était le premier mot qu'il a appris lorsqu'il a joué à Seraing. Il n'a pas réalisé que c'était une insulte, mais je pense qu'il ne le répétera pas. Pour moi, l'affaire est donc close", a affirmé Mpoku au Het Belang van Limburg.
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