Les Red Flames ont terminé leur premier rendez-vous sous la houlette de la sélectionneuse Elisabet Gunnarsdottir sans marquer le moindre point. Après la défaite de vendredi dernier en Espagne, elles se sont inclinées 0-1 contre le Portugal mercredi. Les Belges peuvent se plaindre après un pénalty non sifflé.
Bien que les Flames participeront au Championnat d'Europe l'été prochain, l'Union Belge a décidé de recruter un nouveau sélectionneur national au début de cette année civile. Serneels a donc été écarté après des années de bons et loyaux services.
Pour le remplacer, l'Islandaise Gunnarsdottir a été recrutée. Elle a fait ses débuts avec le début de la nouvelle campagne de la Ligue des Nations. Avant les matches, des bruits positifs couraient déjà sur l'approche de Gunnarsdottir. Et elle a immédiatement réalisé un grand coup lors de son premier match.
Mais sur le terrain de l'Espagne, championne du monde en titre, les Belges ont perdu avec les honneurs.
Des Portugaises dangereuses
Mercredi, les Belges voulaient donc commencer par gagner des points contre le Portugal. Le match à Louvain commençait sous les meilleurs auspices. Mais les premières occasions étaient pour les Portugais. Un ballon de Marchao touchait le poteau.
De l'autre côté, Wullaert, Janssen et Toloba créaient le danger. Finalement, à la mi-temps, le score était toujours de 0-0, un score correct.
Après la mi-temps, les visiteurs ont cependant réussi à frapper. A cause d'une main de Tysiak, la balle est allée au point de penalty, Costa a proprement botté depuis les onze mètres. Un coup dur pour les Flames, qui devenaient de plus en plus frustrées par la gestion du match.
Penalty non sifflé
Cette frustration a atteint son paroxysme dans les dernières minutes. En effet, Eurlings se fait accrocher dans les seize mètres et s'écroule. Un penalty clair mais les officiels du match ont décidé de ne pas accorder de penalty. Une décision très discutable après laquelle les Belges n'ont pas pu se relever.
Les Flames obtiennent donc un score décevant de 0 sur 6. Gunnarsdottir a donc encore du pain sur la planche.