Mardi, les huitièmes de finale débutent avec le match entre Patro Eisden Maasmechelen et le Club de Bruges. Cependant, aucune des rencontres prévues mardi, mercredi et jeudi ne bénéficiera de la VAR. Les arbitres devront donc se débrouiller seuls, une situation qui risque de susciter des critiques, comme cela a été le cas ces dernières saisons concernant l’arbitrage en Belgique.
Les mêmes règles pour tous
Toutes les rencontres ne sont pas diffusées à la télévision, et bon nombre de matchs se jouent en simultané. Par conséquent, les moyens techniques disponibles, notamment les angles de caméra, sont insuffisants pour permettre un arbitrage vidéo cohérent. La Pro League a également insisté sur l’importance d’une égalité des conditions entre toutes les équipes.
Même les rencontres diffusées à la télévision, comme Patro-Club Bruges, KRC Genk-Standard et Anderlecht-Westerlo, ne bénéficieront pas de la VAR. Cette décision a été prise pour garantir une équité totale dans la compétition.
Le retour de la VAR en quart de finale
Cette absence de VAR en huitièmes de finale est une décision qui remonte à trois ans. La VAR sera toutefois réintroduite dès les quarts de finale. En Belgique, l’assistance vidéo reste un sujet controversé. Ces dernières années, elle a été impliquée dans de nombreuses polémiques, au point que certains matchs ont failli être rejoués en raison d’erreurs liées à son utilisation.