Le problème de Gand ? Un souci d'accent

À l'heure où le football est toujours plus international, la communication n'est pas toujours simple au sein d'un groupe. 

De plus en plus de coachs font assez évidemment le choix de l'anglais mais parfois, cela n'arrange pas nécessairement les choses. C'est notamment le cas à Gand, où Max Dean a posé ses valises. 

Un trio inséparable

Âgé de 20 ans, l'attaquant a rapidement trouvé ses marques au sein de l'équipe, où il forme un trio avec Mathias Delorge et Momodou Sonko. Devenus inséparables en quelques mois à peine, ils permettent aux Buffalos d'aller de l'avant. 

Mais au sein du groupe gantois, il n'est pas toujours simple de se faire comprendre. Surtout en raison de l'accent du joueur, qui l'oblige parfois à devoir se répéter pour que le message passe. "Momo il comprend mieux que n'importe qui d'autre dans l'équipe. Mieux qu'Archie (Brown), je peux lui parler aussi vite que je veux", explique Dean.

"Ca arrive de me répéter dix fois par jour"

"Pour les autres, je dois parler un peu plus lentement. Ca arrive dix fois par jour (de devoir me répéter). J'essaie de parler plus lentement mais cela ne me dérange pas de me répéter parfois", ajoute l'Anglais.

Auteur de quatre buts dont un doublé contre le Standard, Dean est incontournable dans le dispositif de Wouter Vrancken, où il gagne petit à petit ses galons de titulaire.

😅 | Les joueurs du KAA Gent ne sont pas encore habitués à l'accent de Max Dean. 🏴󠁧󠁢󠁥󠁮󠁧󠁿 pic.twitter.com/cZFr3x4cKx

— DAZN Belgique (@DAZN_BEFR) November 23, 2024