Il y a quelques semaines, le Beerschot avait déjà assuré sa promotion au plus haut niveau, avec le titre de Challenger Pro League comme cerise sur le gâteau. Mais il n'était pas vraiment possible de faire la fête dans la salle du conseil d'administration. En effet, l'incertitude quant à l'avenir du club était encore trop grande.
Le Beerschot était en vente depuis un certain temps, mais les propriétaires saoudiens ne semblaient pas prêts à accepter n'importe quelle transaction. C'est ainsi que les négociations avec un candidat chinois ont démarré, après quoi le président Francis Vrancken a décidé de démissionner, mécontent de la tournure des événements.
Le Beerschot n'est plus à vendre
Selon lui, la poursuite de la coopération avec le prince Abdullah et son holding de football United World n'était plus possible. Bien qu'il ait fait ses adieux au Kiel dans la douleur, Vrancken ne regrette sans doute pas son choix, car il a été annoncé plus tôt dans la journée qu'une reprise n'était plus d'actualité.
Le rapport de l'assemblée générale des actionnaires publié sur le site Internet du club le confirme officiellement. "Une vente éventuelle du club n'est actuellement pas à l'ordre du jour. United World s'engage à rester au Beerschot et à poursuivre son rôle d'actionnaire principal", peut-on lire en partie.
United World fait des efforts
Entre-temps, le dossier de licence a même approuvé un budget performant pour faire face aux défis liés à la promotion, "plus particulièrement pour répondre aux recommandations et aux projets de la cellule sportive". La situation financière s'en trouverait stabilisée d'un seul coup.
"Il permet également au Beerschot de rattraper les dettes en cours, ce qui garantit la bonne santé du club à plus long terme", poursuit le communiqué. En outre, une attention particulière sera accordée au développement des opérations générales et de l'académie des jeunes.
Qu'en est-il de Vrancken et consorts ?
Tant en termes de main-d'œuvre que de logiciels et d'infrastructures, cela donne à Beerschot un poids supplémentaire, tandis que la réalisation d'un nouveau complexe de formation est même considérée comme "une priorité absolue". Pas un mot sur les actionnaires flamands indignés, qui détiennent 25 % du capital.
Officiële communicatie over de aandeelhoudersvergadering van 17/5.
— K. Beerschot V.A. (@kbeerschotva) May 17, 2024
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