Pour Bruno Venanzi, 2018 est une très bonne année pour le Standard. En effet, les Liégeois semblent de nouveau au top. Pourtant, ce n'était pas vraiment le cas ces dernières années. C'était beaucoup plus difficile financièrement, et les temps étaient plus sombres.

"Quand j'ai repris le Standard, le club avait 7 millions de dettes. Je le savais, j'avais vu les comptes. Duchâtelet avait une politique différente. Il possédait différents clubs, il y avait beaucoup de joueurs dans l'effectif, le salaire était bon. On a même payé des joueurs qui jouaient dans d'autres clubs. Nous avons du prendre des décisions qui n'étaient pas populaires" a-t-il indiqué à Het Laatste Nieuws.
"Financièrement c'était si compliqué. Je pense notamment à la vente de Anthony Knockaert (le chouchou du public a été vendu 3 millions d'euros à Brighton & Hove Albion ndlr), il n'a joué pour nous que six mois. Les fans n'ont pas compris, mais sa vente était nécessaire pour les finances. On était dans de sales draps, la licence n'était pas si évidente à un moment donné, et sans sa vente, je ne sais même pas si on y serait arrivé!"
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