Il y a deux semaines, Genk a fait un grand pas vers le titre en battant Bruges (3-1). Les Limbourgeois avaient pris l'avantage grâce à un penalty polémique.
Habituellement, Johan Verbist, le patron des arbitres, revient rapidement sur les phases polémiques du week-end. Mais après Genk-Bruges (3-1), il ne s'était pas exprimé. Deux semaines plus tard, il sort de se réserve.
Sur la main de Brandon Mechele, Alexandre Boucaut n'aurait pas dû octroyer de penalty à Genk. Et, surtout, le VAR n'aurait pas dû l'appeler.
"Brandon Mechele bloque un tir vers le but d'Aly Samatta. Cette balle contrée est propulsée via le sol sur l’avant-bras de Mechele. De par le fait que Mechele ait tenté de bloquer le ballon, il se retrouve dos au jeu et ne peut savoir où se trouve le ballon. L'arbitre laisse le jeu se poursuivre mais est appelé à consulter son écran par le VAR. Après consultation des images, l'arbitre donne un coup de pied de réparation. Le VAR n'aurait pas dû intervenir sur cette phase. Lorsque le ballon touche le bras de Mechele, il n’y a aucune intention de bloquer le ballon, il s’agit d’un contact involontaire entre le ballon et le bras. Le coup de pied de réparation n'aurait pas dû être accordé ici", a déclaré Verbist sur le site de l'Union Belge.
Le vote: Verbist aurait-il dû réagir plus tôt ?