Il y a moins de raisons de virer Felice Mazzù après la défaite (0-1) contre Charleroi, dont la victoire dimanche était miraculeuse, qu'après celle, largement méritée, des promus de Westerlo (2-1) avant la trêve internationale.
Alors que les réseaux sociaux, mais aussi les médias et leurs sites, inondent leurs pages de commentaires en tous genres le plus souvent farfelus, on doit cette bonne analyse à Kjell Doms, sur le site de Het Laatste Nieuws (https://cutt.ly/oV4gKr7).
De plus, alors que la direction du Sporting d'Anderlecht n'a plus un tampon aussi fort que Vincent Kompany, pour maintenir à distance les supporters et leurs états d'âme, ce n'est pas le moment de leur donner raison en renvoyant Mazzù, auquel - et plus particulièrement Wouter Vandenhaute - elle a choisi de confier son équipe il n'y a même pas six mois.
ECHEC DE MAZZU = ECHEC DE VANDENHAUTE
Si Mazzù échoue, ce sera donc aussi et surtout l'échec du conseil d'administration aux yeux de cette (large) portion de supporters qui n'apprécient pas la sortie de l'ère Kompany.
Une défaite personnelle que veut absolument éviter Vandenhaute.
Ce dernier maintiendra donc sa confiance à Mazzù, tant qu'il ne pensera capable de renverser la vapeur..."
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Mazzù: en trente ans personne n'a résisté à ça (https://www.footnews.be/news/339518/mazz%C3-en-trente-ans-personne-na-resiste-a-%C3a).