Lors d'un long entretien avec nos confrères de Sudpresse, Jackson Muleka est revenu sur la raison pour laquelle il n'avait pas pris part au stage d'avant-saison du Standard de Liège. L'international congolais a, également, tenu à souligner le fait qu'il allait très prochainement faire son retour dans la Cité Ardente afin d'assister à une rencontre du club du bord de Meuse.
Au début du mois de juillet, les troupes de Ronny Deila avaient pris la route des Pays-Bas, plus précisément du côté de Garderen, pour effectuer leur stage estival, une escapade, en terre batave, où Jackson Muleka n'avait, de son côté, pas accompagné ses désormais anciens coéquipiers. La raison est simple, le natif de Lubumbashi a fait savoir qu'il n'avait pas été informé qu'il devait accompagner le matricule 16, il souligne, aussi, que le deuxième jour de stage, il n'aurait pas non plus pu rejoindre les Rouches étant donné qu'il devait prendre l'avion pour aller discuter, à Istanbul, avec les dirigeants du Besiktas.
"La vérité, c’est que je n’avais pas été informé que je devais accompagner le groupe. La communication n’était tout simplement pas passée. Et si je n’ai pas rejoint mes équipiers le lendemain aux Pays-Bas, c’est parce que je devais prendre l’avion pour Istanbul afin d’aller négocier mon transfert à Besiktas. Vous savez, si les supporters du Standard ont toujours été derrière moi, c’est parce qu’ils savent que j’ai toujours été sincère dans tout ce que j’ai dit et que j’ai fait. Je ne suis pas quelqu’un qui pleurniche et réclame quoi que ce soit. Et je ne suis pas non plus quelqu’un qui attire les problèmes ou les crée."
MULEKA N'OUBLIE PAS LE STANDARD DE LIEGE
Le droitier d'un mètre quatre-vingt compte bien faire le déplacement jusque Liège pour retrouver Sclessin, le temps d'un soir, histoire de revoir Nicolas Raskin et Bope Bokadi, deux joueurs avec qui il est toujours en contact.
"Je n’en ai pas encore eu l’occasion, mais dès que mon agenda me le permettra, je viendrai assister à un match dans ce stade merveilleux et saluer mes anciens équipiers, qui sont un peu mes frères. J’ai d’ailleurs conservé des contacts avec plusieurs d’entre eux, comme Nicolas Raskin et Bope Bokadi. Le Standard, c’est la famille. Les souvenirs que j’y ai accumulés pendant deux ans restent gravés, peu importe la séparation et l’endroit où l’on se trouve. J’ai le plus grand respect pour ce club, pour toutes les personnes que j’y ai croisé et pour tous ses supporters."
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