La défense du Standard a laissé paraître des signes de faiblesse depuis un petit bout de temps et pour tenter de les régler, Mbaye Leye a fait confiance à Moussa Sissako. L'arrière formé au PSG, 20 ans, est sorti de l'anonymat. En juin, alors que l'option d'achat venait d'être levée (400.000 euros), le Franco-Malien s'est occasionné une fracture au 5e métatarse du pied droit avant le confinement.
Depuis son apparition en Coupe de Belgique contre Seraing, il compte quatre apparitions. "Il commençait tout de même à s’impatienter", a expliqué son frère Abdoulaye, qui évolue à Zulte Waregem, à La Meuse. "Il voyait ses anciens coéquipiers qui jouaient dans leur club et à 19-20 ans, il se disait que lui aussi devait commencer à jouer plus. Je pense qu’il a tout de même réussi à prendre son mal en patience."
Depuis son apparition en Coupe de Belgique contre Seraing, il compte quatre apparitions. "Il commençait tout de même à s’impatienter", a expliqué son frère Abdoulaye, qui évolue à Zulte Waregem, à La Meuse. "Il voyait ses anciens coéquipiers qui jouaient dans leur club et à 19-20 ans, il se disait que lui aussi devait commencer à jouer plus. Je pense qu’il a tout de même réussi à prendre son mal en patience."
"La défense centrale est un secteur de jeu délicat, c’est difficile d’y lancer un jeune. Il n’a jamais vraiment reçu d’explications. Mais il faut rappeler qu’il découvre seulement la vie d’un pro dans un groupe pro. Et puis, il est au Standard, ce n’est pas rien. Pendant tout ce temps passé à l’entraînement, je crois quand même qu’il a beaucoup progressé. Je n’ai pas été étonné de le voir faire un super match contre Bruges en Coupe."
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